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| Nota n°14730 |
da hambrfgxr89
il 19/08/2013 @ 10:44 | | ,longchamp pas cher LePoint,http://longchampsacsfree.tumblr.com.fr Actualité >,Nikon; International ,SIGMA...vice-Premier ministre serbe Aleksandar Vucic a indiqué mercredi avoir parlé avec l'ancien patron du Fonds monétaire international (FMI) Dominique Strauss-Kahn concernant son possible engagement en tant que conseiller auprès du go,sac longchamp pas cher...,Leica...ksandar Vucic a indiqué mercredi avoir parlé avec l'ancien patron du Fonds monétaire international (FMI) Dominique Strauss-Kahn concernant son possible engagement en tant que conseiller auprès du gouvern,sac longchamp... 01/08/2013 - 07h50 - Source AFP Related- articles:
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| Nota n°14729 |
da hambrfgxr89
il 19/08/2013 @ 10:43 | | Les médias ont parlé d'une "attaque de diligence", les avocats dénoncent un procès dans la diligence. En cause pour eux,???, , toujours très réactif sur la scène nationale, et prompt à dénoncer chaque fait divers commis sur le territoire. Et encore davantage dans l'Essonne, son fief électoral. Les 13,longchamp pas cher, 15 et 16 mars dernier, lorsque des passagers du RER D s'étaient fait dépouiller, le ministre de l'Intérieur avait immédiatement réclamé un procès. Les faits ne peuvent pas "rester impunis", clamait alors le premier flic de . L'affaire lui était rapidement remontée aux oreilles, d'autant plus que des cadres de la direction départementale des territoires de la préfecture de l'Essonne voyageaient justement dans un des RER attaqués. L'agression des passagers s'est déroulée devant leurs yeux,longchamp pas cher, sans qu'ils puissent intervenir. C'est ainsi que Mohamed,sac longchamp, le seul majeur mis en cause dans l'affaire, a été jugé quelques jours plus tard en comparution immédiate. "Lorsqu'il y a comparution immédiate, on considère normalement que les faits sont carrés, élucidés. Visiblement, ce n'était pas le cas", s'agace Raoul Briolin, son avocat. Pour preuve, le procès du jeune homme a finalement été renvoyé en avril dernier. Son alibi, un concert le soir des faits, n'avait pas pu être vérifié. ? l'audience et devant les policiers, Mohamed n'avait donné le nom d'aucun des camarades qui l'accompagnaient. Les perquisitions n'avaient rien donné. Enfin, les images de la vidéosurveillance ne montraient pas grand-chose, sinon un fond "noir sur noir", raillait à l'époque Raoul Briolin. ?lodie Blier,http://longchamppaschersacbags.tumblr.com, procureur, assurait, elle, avoir reconnu le jeune homme,CASIO, tout comme un ancien policier de la BAC. Un témoin avait aussi affirmé être s?r à "70 %" qu'il s'agissait de son agresseur. Las ! Ils n'ont pas convaincu le tribunal. La vidéosurveillance "inexploitable" Lundi 10 et mardi 11 juin, c'était au tour des onze mineurs mis en cause dans l'attaque du RER D d'être jugés à huis clos devant le tribunal pour enfants d'?vry. ? chaque suspension d'audience, les jeunes sortent souriants, bavardant avec des proches ou des membres de leur famille, peu inquiets par les images des caméras de vidéosurveillance qu'ils savent, depuis le procès de Mohamed, de mauvaise qualité. On y voit un groupe de jeunes, encapuchonnés, quasiment tous vêtus de couleur sombre, sauter par-dessus les portiques. Le procédé est toujours le même. Le signal d'alarme est tiré, le train s'immobilise, et les jeunes s'engouffrent dans les wagons. Les victimes et témoins racontent les coups de poing, les arrachages de portable et les violences multiples. Mais presque aucun n'est capable de reconna?tre formellement son agresseur. Les policiers ont réussi à isoler de la vidéosurveillance quelques signes distinctifs pour appréhender les mis en cause : un logo sur un sweat-shirt, une carrure un peu imposante ou encore une dent en argent. "Le gros du dossier, c'est ?a : des policiers qui reconnaissent des jeunes sur la vidéosurveillance. Pour nous, elle est inexploitable", scande Me Lebon, avocat de deux des mineurs. Les interpellations et les perquisitions ont parfois été agitées, entre résistance des jeunes et protestations de la famille. Chez l'un des mineurs, plusieurs téléphones sont trouvés, dont l'un au moins appartenait à une victime du RER D. Au domicile d'un autre,FUJIFILM, de très nombreux portables sans batterie et des documents administratifs divers (cartes d'identité, pass Navigo...) sont récupérés. Dans la chambre d'un troisième mineur, les policiers mettent la main sur plusieurs téléphones et des chèques-déjeuner libellés au nom... du conseil général de l'Essonne. Mafia Grigny Danger Lors de leurs investigations,sac longchamp pas cher, les policiers vont remarquer qu'un certain nombre de jeunes faisaient partie d'une bande appelée Mafia Grigny Danger (MGD). Sur leurs blogs, les ados avaient l'habitude de s'afficher billets de banque à la main, parfois munis d'une arme de poing, d'une bombe lacrymogène ou d'une batte de baseball. "Mafia Grigny danger, c'est quoi ? ?a peut être un groupe de musique, une bande de copains... On n'en sait rien", se défend un avocat,?????, dans les couloirs du palais de justice d'?vry. Mardi après-midi, les avocats ont été peu enclins à parler, préférant attendre le réquisitoire du procureur, qui n'est tombé qu'à 20 heures. Le parquet a requis des peines de 12, 18 ou 24 mois de prison avec sursis, allant jusqu'à réclamer une peine de prison de six mois ferme. "Des réquisitions très lourdes !" s'indigne aussit?t Me Lebon. "En garde à vue, j'ai même entendu un des policiers dire que Manuel Valls était passé, qu'il fallait trouver quelque chose rapidement", assure un avocat, qui dénonce les pressions politiques sur ce dossier. "Trouver des coupables" (avocat)"Il fallait trouver des coupables pour les agressions qui ont eu lieu",longchamp, résume Me Caruso. |
| Nota n°14728 |
da hambrfgxr89
il 19/08/2013 @ 10:42
 http://longchampfrancefrfr.tumblr.com | | Dans le cadre du festival Normandie impressionniste,sac longchamp pas cher, le musée des Beaux-Arts de Rouen réunit,CASIO, gr?ce à des prêts prestigieux, plus d'une centaine d'oeuvres peintes par les plus grands ma?tres de l'impressionnisme et du néo-impressionnisme. L'enjeu : montrer comment ceux-ci bouleversent le motif du reflet. Le "plan d'eau,FUJIFILM, cette surface colorée perpétuellement mobile où se réfléchissent le paysage, les voiles et le ciel, traverse toute l'histoire de l'impressionnisme,sac longchamp, explique le musée. S'attacher au jeu aléatoire des reflets, c'est pour Monet,sac longchamp, Caillebotte,Leica, Forain,sac longchamp pas cher, Renoir,longchamp pas cher, Seurat ou Sisley proclamer la vérité de l'instant,sac longchamp pas cher, mais c'est aussi vibrer à l'unisson avec le mouvement général d'un monde en pleine métamorphose,longchamp pas cher, dans lequel la vitesse et la lumière vont jouer un r?le prépondérant." Au musée des Beaux-Arts à Rouen jusqu'au 30 septembre. Related- articles:
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| Nota n°14727 |
da hambrfgxr89
il 19/08/2013 @ 10:42
http://longchampblogbagsposts.tumblr.com | | L'idée de l'exposition est née d'une conversation entre et Olivier Kaeppelin, responsable de la Fondation Maeght. Pourquoi ne pas retracer sur cimaises une histoire subjective des rapports entre l'art et la philosophie ? Il flottait au-dessus de ce projet une grande ombre tutélaire : en 1973, Malraux lui-même avait orchestré à la Fondation Maeght une exposition sur son musée imaginaire. Comment ne pas rêver de l'auteur de L'espoir et des Voix du silence au moment où l'on s'engage pour la résistance libyenne entre Misrata et Benghazi ? Il y a le sillon Malraux,longchamp, certes, mais aussi l'antécédent des ma?tres penseurs de la génération structuraliste : Lévi-Strauss a écrit sur ,longchamp, Foucault sur , Deleuze sur Bacon,sac longchamp, Derrida sur Adami et Barthes sur Twombly. En héritier des années 70, BHL le sait.L'intellectuel total C'est l'étrange marelle de cet irrégulier. L'ancien élève d'Althusser n'a cessé depuis quarante ans de sculpter en zigzag la statue aléatoire de ce rêve fran?ais : l'intellectuel total. Ce normalien aux allures de Solal est le synthétiseur lyrique d'un crépuscule repoussé. Oui, on peut ressusciter sur une scène siphonnée par les incultures et les amnésies modernes le grand jeu du savoir aux prises avec l'Histoire. ?tre romancier, essayiste, auteur de thé?tre et de cinéma, passer de l'idéologie fran?aise au vertige américain, du Talmud à Massoud, de Baudelaire à Daniel Pearl et, pourquoi pas, marabouter un président fran?ais pour qu'il envoie ses Rafale fixer au sol les chars d'un dictateur abject. ?videmment,longchamp, tout ce qui dépasse dérange. Comme Bernard-Henri Lévy met de la rhétorique 1930 dans une époque d'aphasie cathodique et de la fougue narcissique dans des causes exposées, il est devenu une cible. Le personnage irrite, hystérise, se fait banderiller par l'époque comme un taureau de caste l?ché dans le toril médiatique. Une nouvelle faena ? Après les shrapnells de Cyréna?que, les monochromes ténébreux de Pierre Soulages ? Tel est son labyrinthe, son karma, sa fa?on de se jeter sur l'épée. Et pourquoi pas ? Art et philosophie, a donc réfléchi BHL. Pour lui, ce n'est pas une question de beauté, mais de vérité. En même temps qu'il préparait comme commissaire cette exposition, il a donc rédigé ce nouvel ouvrage, intitulé Les aventures de la vérité.Dialogue des siècles Un parcours en six stations ouvre le livre,sac longchamp pas cher, thématisant les sections de l'accrochage à venir. On y verra comment l'iconoclasme antique - Platon ou Tertullien - puis les proscriptions du juda?sme et de l'islam bannissaient ic?nes et peintures. Comment la malédiction platonicienne fut levée par la figuration catholique. Comment la peinture devint le relais du Dieu mort en même temps qu'une somme de la philosophie universelle. Avant que Nietzsche s'émancipe de la métaphysique pour affirmer l'art comme anti-ontologie, raison et déraison de lui-même. Pour arriver enfin à ces iconoclastes modernes et paradoxaux qui produisent de l'art en l'annulant par la dérision et la pensée du rien, dans le sillage de Duchamp et Warhol.Au coeur du livre, Lévy a placé les pages d'un journal tenu entre 2011 et 2013, la naissance d'une exposition, le "making of", la quête concrète des tableaux dont il sollicite ou espère le prêt. ? l'ombre des grands morts, c'est une galerie de vivants. Bien s?r,sac longchamp, il va voir Larry Gagosian et les augures de la profession. Parfois à son corps défendant, l'auteur devient expert en conditions de transport, caisses scellées et polices d'assurances. Il y a des visites intenses ou cocasses dans les ateliers d'Anselm Kiefer, Marina Abramovic, Miquel Barcelo. Lévy se fait peintre de peintres.Autoportrait ? Voyez Jeff Koons tapotant sur son iPhone, le "corps à la Norman Mailer" de Daniel Buren, l'implantation de cheveux de Gérard Garouste qui "rappelle celle d'Althusser". Une logique de pensée fait le piquant d'un accrochage rêvé, et bient?t réalisé à la Fondation Maeght, un Murillo à c?té d'un Picabia, un Rubens non loin d'un Paul Klee, un Cranach en flirt avec un Basquiat.Un livre, c'est une signature. Une exposition,longchamp pas cher, c'est un combat. Ici, on partage le vitalisme picaresque d'un individu qui trimballe en Learjet des leaders anti-Kadhafi tout en traquant un De Chirico à Genève ou un Memling à Washington. C'est le genre d'homme à rencontrer Hillary Clinton en songeant à Piero della Francesca. Vivre en état de guerre est sa chose, pourrait-on penser. En même temps, les fracas d'un printemps arabe masquent les moirures d'une saison intérieure. Il y a chez Lévy un c?té Henry James, une image dans le tapis, les Rosebud d'une ?me cryptée, des anamnèses et des bifurcations. Voyez comment surgissent soudain au long de cette quête picturale - un jour une "Cène" de Philippe de Champaigne, le lendemain un parapluie de Magritte - tel portrait inattendu de Jean-Louis Trintignant, la figure de sa soeur convertie au catholicisme ou un souvenir de Lucien Bod |
| Nota n°14726 |
da winflkx237
il 19/08/2013 @ 10:42
http://longchampsacsfree.tumblr.com | | , un agriculteur américain de 75 ans. L'homme avait acheté, en plus de ses semences de soja transgénique à Monsanto,longchamp pas cher, d'autres graines en mélange à un producteur local, pour une récolte complémentaire à moindre co?t. Cette récolte, il en a gardé une partie pour la resemer l'année suivante. Or, dans un Etat où 95?% du soja cultivé est transgénique, la plupart de ces graines détenaient le caractère du Roundup Ready, breveté par Monsanto, qui permet à la plante de résister à l'herbicide Roundup vendu par la même firme. Pour les semées sans Monsanto,longchamp pas cher, le fermier a été condamné à à la firme 85?000 dollars.Lire (en édition abonnés) :,sac longchamp pas cher? Si l'affaire est devenue emblématique des conflits entre firmes et agriculteurs sur la question des brevets, elle est loin d'être exceptionnelle : Monsanto est passé ma?tre dans l'art de contr?ler, via sa " des graines", les champs des cultivateurs américains,FUJIFILM, et il n'en est pas à sa première bataille judiciaire ( l'encadré ci-dessous). Fin 2012, le groupe avait déjà empoché 23 millions de dollars (18 millions d'euros) de dommages et intérêts dans le cadre de pour violation de brevets. Mais cette fois, c'est la firme elle-même qui a voulu l'ériger en symbole de la protection de sa propriété intellectuelle – avec?, et le soutien d'acteurs de poids comme l' (, ...), des universités, ou encore le département de la américain.Lire : Dans cette affaire de Monsanto contre M. Bowman, la Cour a justifié sa décision en expliquant qu'il est interdit de un produit breveté (soit, en l'occurrence, resemer les graines récoltées), sans quoi "un brevet perdrait toute sa valeur dès la première vente", ce qui "résulterait en une baisse de l'incitation à l'innovation". Cette position de la justice américaine est fidèle au principe du brevetage des plantes, adopté aux Etats-Unis dès 1930. Ces brevets ne s'appliquent pas seulement aux OGM,Canon, mais ont connu un boom avec le développement des biotechnologies?– dans un pays où 93?% du soja cultivé, 88?% du coton et 86?% du ma?s sont génétiquement modifiés (en 2010), .? ?Le brevet, "directement inspiré du droit industriel, ne prend pas en compte la spécificité du vivant", , le GNIS. Il interdit à quiconque d' la variété protégée à expérimental ou pour la recherche, mais aussi, et surtout, pour des semences de ferme : traditionnellement, les agriculteurs sélectionnent et resèment ainsi leurs propres graines issues de leur récolte, ce qui leur permet de réduire leurs co?ts et de en autonomie, mais aussi de l'adaptation des plantes aux conditions locales. Le système du brevet les oblige donc à chaque année leurs graines aux semenciers – au premier rang desquels Monsanto, dont la technologie est par exemple présente dans 94?% des variétés de soja OGM et 70?% du ma?s OGM.Lire aussi : En Europe, les variétés végétales ne sont pas brevetables. C'est le Certificat d'obtention végétale (COV) qui, , tient lieu de droit de propriété intellectuelle en agriculture. A l'inverse du brevet, ce dernier permet d' la variété à des fins de recherche et d'expérimentation, mais aussi en semences de ferme, à condition que l'agriculteur paie une redevance au propriétaire du COV. Cette dernière règle a été introduite en France par la loi de novembre 2011, qui a mis fin à un flou juridique en autorisant les semences de ferme?– taxées –, pour 21 variétés de cultures agricoles (céréales, fourrages, pomme de terre...) uniquement.Lire : Pour un COV, la variété doit être homologuée selon certains critères :?la distinction, à son originalité par rapport aux variétés existantes,sac longchamp,?l'homogénéité entre ses différents individus, et la stabilité de ses caractéristiques après reproduction. En dehors de ces critères standardisés, point d'inscription au catalogue officiel ni, jusqu'à présent, d'autorisation de commercialisation. Au final, ces variétés protégées par COV correspondent à 99?% des plantes cultivées en France, selon , du GNIS.Aux c?tés du COV existe aussi, en Europe, le brevet sur les végétaux. Non pas pour la variété entière, mais uniquement pour un de ses gènes – qu'il soit obtenu par sélection et croisement classiques, ou par introduction, dans les cellules de la plante. Du coup,sac longchamp, c'est ce caractère génétique que le propriétaire du brevet détient exclusivement – même s'il se retrouve, par propagation, dans les plantes du champ voisin.En France, on ne trouve pas encore de végétaux brevetés dans le commerce. Mais les brevets accordés sur les fruits et légumes se multiplient en Europe. Récemment, le groupe d'agrochimie Syngenta a par exemple re?u un , issu d'un croisement avec un melon indien, pour le caractère doux et amer de son go?t. Du coup, la firme revendique la propriété sur tous les melons qui détiennent cette teneur, précisément mesurée, en acidité et en sucre, . Gr?ce à ces brevets, "Monsanto et Syngenta détiennent ensemble |
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